La Questeure Adjointe de l’Assemblée nationale, Grâce Neema Paininye, a rehaussé de sa présence, ce jeudi 15 mai, la journée africaine de la vaccination tenue à Sultani Hôtel, dans la commune de la Gombe.
En effet, des députés et sénateurs ont, lors de ces assises, suffisamment été mobilisés pour un financement durable en vue d’un accès équitable à la vaccination de chaque enfant congolais.

Selon le Directeur du Programme Élargi de Vaccination (PEV/ RDC), l’objectif général de cette journée est d’obtenir un engagement politique ferme de l’Assemblée nationale pour le maintien de la ligne budgétaire, l’accroissement du taux de décaissement des fonds alloués et son ajustement dans les lignes prioritaires du budget de l’État.
Poursuivant la cérémonie, un panel composé du Directeur général du PEV/ RDC, représentation de députés nationaux et sénateurs ainsi qu’une frange d’enfants reporters de l’UNICEF/ Kinshasa a été mis sur pied. Ce, afin d’éclairer suffisamment, par séries de questions-réponses, l’auguste assemblée.
Voilà ce qui a amené la jeune reporter, Consolation ATA, à poser la question de savoir, pourquoi la RDC ne produit pas son propre vaccin ? Cette question pertinente a attiré l’attention du Directeur général du Pev, à s’apaisentir sur le bien-fondé de cette innovation qui serait très bénéfique pour notre pays. Déplorant cette inefficacité, l’orateur du jour a finalement décrié le fait que même pas 1% des pays africains ne produit le vaccin, si ce n’est que le Burkina Faso.

Prenant la parole, au nom du Président de l’Assemblée Nationale, pour clôturer la journée, la Questeure adjointe de la Chambre basse du Parlement, Honorable Grâce Neema Paininye, a estimé prioritaire la prise en charge des enfants à travers notre pays. Elle a, à l’occasion, interpellé les décideurs tant nationaux que provinciaux, à mettre la main dans la patte afin de sauver les vies des enfants en RDC.
Cellcom Q.A/AN