Tel un vent de poussière soulevé par des bottes mal intentionnées, une confusion savamment entretenue tente d’assombrir le nom d’un acteur irréprochable du génie naval mondial : ARESA Shipyard.

Depuis quelques heures circulent des articles sur le dossier de l’ONPA, exhibant des images appartenant à ARESA Shipyard pour illustrer des navires prétendument défectueux, construits par un autre fabricant. Une manipulation aussi grossière que dangereuse.

Les clichés en question, reconnaissables entre mille, proviennent des archives officielles d’ARESA, toutes protégées par le droit international sur la propriété intellectuelle et les droits d’auteur.

Qu’on se le dise : ARESA n’a aucun lien, direct ou indirect, avec les navires cités dans cette affaire.

Associer son image à ce scandale, c’est délibérément falsifier la réalité et porter atteinte à la réputation d’une entreprise qui, depuis plus de soixante ans, navigue entre rigueur, innovation et excellence.

Mise en garde sans ambiguïté

Toute personne, institution ou média utilisant sans autorisation les images, vidéos ou supports visuels appartenant à ARESA Shipyard s’expose à des poursuites judiciaires pour violation de droits d’auteur, usage abusif d’image et atteinte à la réputation commerciale.

Les temps de l’impunité numérique sont révolus. L’ère des approximations médiatiques aussi.

Une signature d’excellence reconnue sur quatre continents

ARESA Shipyard, c’est plus de 1 200 navires construits et livrés dans plus de 25 pays — des patrouilleurs militaires aux bateaux de pêche industrielle, en passant par des navires de transport et d’assistance offshore.

C’est une maison espagnole fondée sur le sérieux, la maîtrise technologique et la fiabilité, qui fait de chaque livraison une promesse tenue.

De l’Afrique au Moyen-Orient

Le respect, ça se mérite.

Que certains s’essayent à manipuler les symboles visuels d’une telle entreprise pour donner du crédit à des bateaux fantômes relève de la désinformation pure et simple.

La vérité, elle, n’a pas besoin de mise en scène : ARESA n’a livré aucun des navires concernés par le dossier ONPA.
Tout amalgame est une fraude intellectuelle. Toute confusion, une stratégie de nuisance.

Message clair à l’intention des faussaires d’images et des rédacteurs téméraires

Quiconque persistera à détourner ou à exploiter sans autorisation le contenu visuel d’ARESA Shipyard — photos, vidéos, plans techniques ou supports institutionnels — s’expose à des poursuites judiciaires sans concession.

L’entreprise se réserve le droit de défendre son intégrité et son image, avec la même rigueur qu’elle applique dans la construction de ses navires.

ARESA Shipyard, la solidité d’une réputation forgée sur les flots du monde

Là où d’autres bricolent des coques d’occasion, ARESA façonne des flottes d’avenir.
Là où d’autres cherchent à se couvrir de faux éclats, elle avance à visage découvert, forte de six décennies de savoir-faire et d’honneur industriel.

Et qu’on ne s’y trompe pas : on ne salit pas impunément une maison d’excellence, encore moins en maquillant la vérité sous des images volées.

ARESA Shipyard ne répond pas au bruit des rumeurs. Elle construit le silence des certitudes.

Please follow and like us:
Pin Share